Nouveaux vols du Mini Viper

Samedi 14h30,

La semaine passée, j’ai pu testé le Mini Viper de Graupner.
J’ai tout juste pu ramener le petit racer au bercail. La faute à un mono-aileron trop peu réactif et à un aileron fixe trop incurvé.

Dans le courant de cette semaine, j’ai pu redresser l’aileron fixe et j’ai donné plus de débattement vers le bas au mono-aileron.
Ces deux modifications devraient résoudre le manque de réaction dans les virages à droite.

Je me rends donc sur notre terrain avec le Mini Viper pour un nouveau vol d’essai.

L’avion est rapidement assemblé. Je contrôle le sens et le bon fonctionnement des gouvernes. Tout est en ordre.

Suspendu au dessus de ma tête, le racer est prêt à s’élancer.

Je mets les gaz et je lui donne une bonne impulsion…
L’avion grimpe bien droit en prenant rapidement de l’altitude. Peut-être un peu trop vite.
Je me concentre pour le premier virage car je suis prêt à revivre la même mésaventure que la semaine passée.

L’avion s’éloigne très rapidement et il est très petit.
Je tourne à gauche. Pas de souci. Je tourne à droite et cette fois, l’avion réagi immédiatement. Oufff. Tout est en ordre.
Le problème est résolu.

Quelques crans de trims à piquer et l’avion vole bien droit.
Par contre, Le Mini Viper vole vite, même très vite… Je me contente de quelques passage plein pot mais sinon je vole avec un quart des gaz.

Les trajectoires sont sympas et bien tendues. Je me détends et je réalise quelques acrobaties. Tout se déroule bien.

Je réalise une première approche mais je me rends compte qu’il faut plus de distance. Le bougre allonge terriblement.
Je recommence avec cette fois un dernier virage assez loin de la piste.
Sur un filet de gaz, je laisse le Mini Viper descendre et je coupe tout dès le seuil de piste dépassé. Le Racer plane docilement.
C’est gagné, l’avion se pose en douceur.

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Rassuré par ce vol, je relance le Mini Viper immédiatement.
Mais cette fois, l’avion ne monte pas tout seul. Il plonge vers le sol.
Je donne rapidement une action à cabrer et le voilà qui remonte après avoir frôlé le gazon…et la catastrophe…

Le trim est à présent réglé légèrement à piquer et je n’en n’ai pas tenu compte !!
Je souffle. L’avion et de nouveau en l’air et je réalise un second vol sans problème.

Après le second atterrissage, je décide de revoler une dernière fois.
Cette fois, je lance l’avion avec une belle pente ascendante mais le bougre à tout de même tendance à plonger vers le sol.
Il faudra penser à programmer une phase de vol « décollage » avec une action à cabrer pendant les premières secondes de vol sinon, le stress sera de la partie à chaque lancement.

Troisième et dernier atterrissage puisque cette fois, l’hélice heurte le sol dans un mauvais angle et casse malgré un contact assez doux avec le sol.

Le bilan est très positif. L’avion est très sain et vole sans problème.

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Pour me détendre, je sors le Messerschmit Me-109 avant de rentrer.

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