Ryan ST-55, Dogfighter et Cavallino.

Samedi 15h30,

Une petite sortie alors qu’un temps estival semble avoir fait son retour.

Le Ryan ST-55 est fin prêt pour quelques vols.

Décollages et vols sans histoire. Atterrissages tout en douceur grâce à la faible charge alaire du Ryan.
Un vrai plaisir à piloter.

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Le Dogfighter de Multiplex n’avait pas volé depuis un certain temps. Le temps de mettre un accu à l’intérieur du fuselage et l’avion est prêt pour le lancement.

Un geste franc et la brise qui souffle aide l’avion à trouver sa portance.
Il grimpe bien vite dans l’azure.

J’enchaîne une série d’acrobaties et j’effectue plusieurs boucle plein gaz.
La motorisation de ce petit racer est à elle seule une source de plaisir.

Après 5 minutes de vols, je me pose et je change d’accu. Encore un moment de détente avec cet avion vraiment bien conçu.

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J’avais également emporté le Cavallino.

Il m’a fallu un petit moment pour assembler le petit racer.
Le bougre est un peu plus difficile à lancer mais le petit avion rouge prend l’air sans problème.

Je me permets un vol en grand partie plein gaz. Les trajectoires sont tendues et la concentration est de mise. Il suffit d’une seconde d’inattention pour voir l’avion s’écraser au sol.
Les montées sont sans fin mais il faut prendre garde à ne pas aller trop loin, le Cavallino ne fait que 880mm d’envergure.

Au bout de quelques minutes, je me prépare à l’atterrissage. Je perds un maximum d’altitude et je m’aligne sur la piste avant de couper complètement les gaz.
Le Cavallino allonge énormément, L’hélice est correctement placée. Elle ne risque pas de se briser lors de l’atterrissage.

L’avion survol la piste mais il refuse de descendre. J’attends, j’attends. Le bout de piste approche.
Je décide de remettre les gaz pour refaire une approche.

Grande erreur. Je remets trop brutalement les gaz et, emporté par le couple du moteur, l’avion se met brutalement sur le dos et se pose dans cette position.
Aïe, aïe !! Le fuselage est cassé en deux derrière le bord de fuite de l’aile. Exactement au même endroit que la cassure que j’avais faite lors d’un crash il y a plusieurs année.

Les dégats sont toutefois limités.
La cassure est nette est il a suffi de remettre parfaitement le fuselage en position, de laisser quelques gouttes de cyano verrouiller le tout et de refibrer l’intérieur pour que le Cavallino soit presque comme neuf.

Prêt pour de prochains vols.

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