Une nouvelle mission pour le P-47 et pour l’Albatros

Vendredi, fin d’après-midi,

Un temps splendide. Une brise très faible. Des conditions idéales pour quelques vols.
Ce vendredi, en fin d’après-midi, la piste pouvait accueillir le P47 ainsi que l’Albatros pour quelques vols.

Le temps de charger la voiture et je me trouvais déjà sur place.

Le P-47 est rapidement monté non sans avoir contrôlé le serrage des tringles de trains d’atterrissage.
Il serait fâcheux que les trains ne sortent pas le moment venu.

C’est parti pour un beau décollage. J’ai toujours un peu de peine à conserver un axe parfaitement droit au roulage mais l’avion décolle tout de même de manière satisfaisante.

J’effectuerai plusieurs vols avec un accu 6S 4500 nanoTec en pleine forme. L’avion se comporte parfaitement et reste facile à piloter.
Un bémol peut-être, lors des passages rapides et plein gaz, l’avion à tendance à secouer légèrement la queue de droite à gauche.
Il faudra que je trouve l’origine de ce phénomène. Peut-être la dérive n’est-elle pas bien dans l’axe ?? Ou était-ce simplement l’effet du léger vent de travers. A confirmer lors des prochains vols.

J’effectue plusieurs atterrissages. Avec les volets, c’est chaque fois un vrai plaisir.
Ce Thunderbolt est réellement un avion plaisant en vol !

P-47 Thunderbolt de Phoenix Models

Après avoir mesuré mon accu, je constate qu’il lui reste 35% de capacité théorique. Mon chrono affiche 12 minutes et des poussières. Une très bonne autonomie pour un avion de cette envergure.

L’Albatros est également présent. Pas de montage sur le terrain, il suffit de le sortir de la voiture est de brancher l’accu.
Son envergure de 1,32 mètre en fait un biplan pratique à déplacer.

Les vols avec l’Albatros sont bien sûr plus lents que ceux du P-47. Il s’agit d’un avion facile à maîtriser mais il demande une certaine concentration lors du pilotage. Car malgré sa réactivité, il peut surprendre lors des virages serrés. Il faut savoir lui faire prendre de jolis virages en les engageant à l’aide de la dérive et les contrer quelque peu aux ailerons.
Sa légèreté est aussi un handicap lorsque le vent se met à forcir.

Quelques minutes et quelques atterrissages plus tard, c’est un Albatros ayant rempli sa mission du jour qui rentre au hangar.

Albatros DVa de BMI

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