Le Klemm 35 et le Salto volent dans le soleil

Mardi 17h30.

J’ai un petit moment à disposition pour réaliser quelques vols en cette fin d’après-midi.
J’en profite car le soleil est assez bas et la lumière très sympa.

J’ai sorti le Klemm 35 ainsi que le Salto.
Le premier est assemblé et rapidement prêt pour prendre l’air.
Son pilote piétine d’impatience à l’idée de prendre l’air.

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Le gazon est un peu haut et j’ai un peu de mal à débuter la phase de roulage. Les pantalons de roues, malgré leur rehaussement, frottent sur l’herbe.
Mais avec de petits coups de gaz, l’avion finit par rouler queue haute et au bout de quelques dizaines de mètres il est dans son élément.

L’avion, d’une envergure de 2m10 est très stable et les trajectoires sont lisses et tendues.
Je m’amuse pendant plus de 8 minutes avant que le chrono ne me rappelle à l’ordre.

Je m’éloigne assez et j’effectue une approche mais l’avion vol trop vite et je dois recommencer une boucle.
Pas de souci. Remise des gaz, virage sur l’aile et je me retrouve à nouveau dans la phase vent arrière.

Je m’éloigne un peu plus cette fois et je réduis franchement les gaz dans l’étape de base.
L’avion est plus lent et je suis maintenant en finale à une vitesse tout à fait raisonnable.

L’avion descend et fini par toucher le gazon avant de rebondir de quelques centimètres.
Je ne tire pas trop sur la profondeur car la vitesse est encore un peu élevée et l’avion pourrait encore remonter.
L’avion ralenti franchement et je peux maintenant tirer franchement pour que la roulette se pose à son tour.

Parfait. L’avion allonge pas mal mais se pose comme un charme.

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Le temps de débrancher les accus du Klemm 35 et je suis prêt pour quelques vols avec Salto H101.

Le vol est dynamique et la motorisation permet de reprendre de l’altitude de manière très rapide.
Je me permets des piqués avec des huit cubains à la clef. Ce planeur est très sympa à piloter.

L’approche doit se faire d’assez loin afin de casser la vitesse.
En finale, je monte les ailerons et, avec la bonne compensation à la profondeur, le planeur descend tout seul.
Il suffit d’arrondir proprement pour qu’il vienne poser sa roue ventrale dans le gazon et s’arrêter après un court roulage.

Un vrai plaisir…

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