Mardi 16h30,
Le temps est lourd. La chaleur se fait pesante. Un orage est attendu dans la soirée.
Le vent souffle en rafale de manière soutenue.
Mais avant la tourmente, je sors mes deux « brigands » : Le Bandit et l’Ultimate.
Le Wilco est également de la partie.
Le Bandit prend l’air en premier. Avec son nouvel accu 3S/2250, il semble vouloir grimper à n’en plus finir.
Cet avion est vraiment un splendide jouet. Rapide à mettre en oeuvre (il voyage entièrement monté dans la voiture), il est maniable à souhait.
En grands débattements, 60% d’expo a été programmé sur tous les axes. L’avion est très docile et se laisse piloter sans sourciller.
Même le vent ne semble pas avoir d’emprise sur lui.
Les atterrissages sont bien négociés et il pose ses roues à plusieurs reprises sans heurt.
L’Ultimate prend la suite et comme ses compères moulinent avec les mêmes accus, les vols se multiplient. Je compterai plus de 10 vols en cette fin d’après midi.
Après avoir vidé la majeur partie de mes accus, il est grand temps d’assembler le Wilco qui est prêt à découper l’azure sombre de ses ailes.
Le ciel se fait de plus en plus menaçant et des coups de tonnerres retentissent au loin.
Après avoir vérifié le bon fonctionnement du planeur, je le lance.
Un vol de 10 minutes fait d’acrobaties en tout genres et un autre moins long car je trouvais mon premier atterrissage perfectible.
Ce planeur est un régal à écouter. Son sifflement, lorsque il gagne de la vitesse, est impressionnant.
18h30, il est temps de mettre à l’abri tout ce petit monde et de recharger tout les accus.